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 Billie Pandora Dyson ☼ S'il faut mourir, autant vivre à en crever.

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Billie Pandora Dyson ☼ S'il faut mourir, autant vivre à en crever. _
MessageSujet: Billie Pandora Dyson ☼ S'il faut mourir, autant vivre à en crever.   Billie Pandora Dyson ☼ S'il faut mourir, autant vivre à en crever. Icon_minitimeVen 31 Aoû - 2:46


Billie Pandora Dyson
« Dans les ruines de l'école où brûle un tableau noir, une craie s'est brisée en écrivant espoir »


Âge23 ans NationalitéAméricaine StatutCélibataire et elle se trouve très bien ainsi Préférence sexuelleLesbienne MétierMannequin (très peu connue) pour lingerie et caissière dans un supermarché GroupeI'm peace and love CélébritéErin Heatherton
Who am I ? De nature sans prise de tête, Billie prend les choses comme elles viennent, avec optimiste et sans penser au lendemain. Un peu fofolle sur les bords et absolument pas pudique, elle aime bien s’amuser et adore relever toutes sortes de défis plus loufoques les uns que les autres, pour se prouver qu’elle est en vie et qu’elle en est tout simplement capable. Vraiment très fêtarde, Billie, c’est la fille qui arrive en premier dans une fête, boit beaucoup, danse énormément, passe l’essentiel de son temps à draguer, et finalement, repart dans les derniers, complètement bourrée. Elle est pleine d’énergie et tente à tout prix d’éviter les bagarres, quitte à se plier à l’avis de son interlocuteur avec docilité. Rigolote et provocante par moment, elle met des habits courts pour attirer l’attention et taquine souvent ses proches, sans pour autant tomber dans la méchanceté gratuite. Sociable, bavarde et extravertie, elle n’en reste pas moins une grande peureuse. Elle a peur des araignées et des insectes en général, peur de la mort et des maladies, peur du sang et d’avoir mal, peur de solitude et de retomber amoureuse. Elle est très tactile et a souvent besoin de quelqu'un à ses côtés, pour la serrer dans ses bras ou même être tout simplement une présence réconfortante. Blonde et plutôt grande, elle sait tirer parti de son un mètre soixante-dix-neuf et de ses cinquante-cinq kilos pour avoir tout ce qu’elle désire. Elle multiplie les coups d’un soir et les relations à très courte durée, à cause de son manque de fidélité, mais aussi de son caractère : elle n’est pas faite pour l’amour, d’après elle, et n’y croit de toute manière plus. Aimer fait énormément souffrir et elle déteste souffrir. Généralement menteuse sur son passé, elle ne le confie pratiquement jamais et préfère vivre au jour le jour. Egalement peu gourmande et végétarienne, elle a un appétit d’oiseau, mais adore tout de même les tartes aux pommes, son pêché mignon. Pour parler de ses tics, quand elle est triste, elle cligne des yeux et quand elle s’ennuie, elle joue avec une mèche de ses cheveux.
..IL ETAIT UNE FOIS..
..IL Y A BIEN LONGTEMPS.
.
Billie, neuf ans :
Dans l’enfer des disputes.

Billie descendit lentement une marche après l’autre de son grand escalier, se dirigeant brusquement lorsqu’une marche grinça. Mais elle n’avait aucun soucis à se faire, ses parents ne l’entendirent pas. « Putain mais pourquoi tu me prends toujours la tête ?! » hurla une voix d’homme. « Mais parce que tu te tapes tout ce qui passe à ta portée, voilà pourquoi ! » répondit l’intéressée, en criant. « Et tu veux que je fasse quoi, hein ? Tu refuses même de me TOUCHER ! Tu veux que je t’attende bien sagement ? Mais t’es complètement tarée ma pauvre ! » Billie sauta en bas de l’escalier et s’avança doucement pour se poster juste à côté de la porte entrouverte de la cuisine. Du haut de ses neuf ans, ce n’était pas la première fois qu’elle assistait à ce genre de scène. Bien au contraire. Elle se laissa tomber au sol et ferma fort les paupières. A l’intérieur de la pièce, les cris continuaient, jusqu’à ce que la porte s’ouvre brusquement sur un visage rouge de colère. Nathan s’arrêta un instant, fixa sa fille, une étincelle de mépris dans le regard. « Et regarde donc ! Ta salope de fille devient comme toi. Ça te plaît d’espionner les conversations, hein, connasse ? » Des larmes se mirent à couler sur les joues de la jeune fille qui se releva d’un bond et courut jusqu’à la porte d’entrée. « Ouais, c’est ça, casse-toi ! » hurla une dernière fois la voix de son père, tandis qu’elle disparaissait dans la nuit. Elle galopa à perdre haleine jusqu’à une maison, devant laquelle elle s’arrêta, tremblante. Elle appuya sur la sonnette une fois, puis deux, trois et ainsi de suite, jusqu’à ce que son meilleur ami se manifeste. Il la regarda un instant, les yeux grands ouverts, puis ouvrit le portail et se précipita vers elle. « Luka, Luka, j'ai si mal » pleurnicha Billie. Luka la prit dans ses bras et la plaqua fort contre lui, tentant maladroitement de la réconforter. Puis il l’invita chez lui et ils passèrent la nuit pelotonnés l’un contre l’autre.
Le lendemain, Billie s’éclipsa, avant même le réveil de son ami. Elle se dirigea, pleine d’appréhension, jusqu’à sa maison. Ses parents étaient attablés à la table du petit-déjeuner. Ni l’un ni l’autre ne lui accorda un regard. « Va te laver les mains » fut le seul commentaire de Krystal.


Billie, 14 ans :
Il n’y a que deux issus au mariage : la séparation ou la mort.
Billie rentra chez elle d’un pas sautillant, ramenant dans son sac une excellente note de son professeur de mathématiques. Elle avait envie de la montrer à sa mère, pour y voir, ne serait-ce qu’une seconde, une lueur de fierté. Ce fut peine perdue. Quand l’enfant âgé de quatorze ans franchit la porte, elle se retrouva face à sa génitrice, affalé par terre, une bouteille d’alcool à la main. Billie se précipita vers elle, mais fut violemment rejetée. « Maman, qu’est-ce que... » commença la jeune fille, avant de s’arrêter devant le regard noir de Krystal. « Il s’est barré ! Ton connard de père a demandé le divorce ! Je suis sûre que c’est de ta faute, sale traînée ! » Billie baissa les yeux, se mordillant les lèvres. « Et regarde-moi quand j’te parle ! » hurla sa mère. Les larmes aux yeux, la petite demoiselle s’exécuta. Elles restèrent un long moment à s’observer en silence. Et Nathan débarqua finalement, rompant leur échange de regards. Il regarda sa fille un instant, secoua la tête, puis s’approcha d’elle pour lui ébouriffer maladroitement les cheveux. « Nous ne nous reverront plus jamais Billie. Porte-toi bien. » Puis il partit. Et effectivement, Billie ne le revit plus jamais.
Le lendemain, elle et sa mère déménagèrent à la va-vite, à Miami, au plus grand désespoir de la demoiselle qui dû dire au revoir à son Luka adoré. Ce fut en pleurant qu’elle grimpa dans le car, adressant à son meilleur ami un ultime signe d’au revoir. « Arrête de gesticuler comme ça, tu me gênes ! » intervint alors Krystal. Billie s’arrêta immédiatement, se contentant de regarder la silhouette de son précieux ami disparaître au loin.


Billie, 16 ans :
Un réconfort ne se refuse jamais.

« Maman ? Je t’ai préparée des tartines. Tu devrais manger un peu, boire autant, c’est très mauvais pour toi... » Pour tout réponse, elle ne reçut qu’un vague signe de main de sa génitrice. Bourrée, pour changer. L’adolescente secoua la tête, attrapa son sac de cours et prit la direction de son école, un faux sourire plaqué sur le visage. Pour changer. Elle tentait de garder la face, malgré sa solitude. Elle n’avait aucun ami. Et doutait de s’en faire un jour. Comment l’aurait-elle pu un jour, alors qu’elle était si détestable même aux yeux de sa mère ? Personne ne l’aimait et elle pensait le mériter.
« Billie ? Pourrais-je te parler un instant ? » La demoiselle s’arrêta, son sac à l’épaule, pour se retourner vers sa professeure qui la fixait avec bienveillance. Cette dernière attendit que tous les élèves aient quitté les lieux pour inviter la blondinette à s’asseoir. « Si tu as un problème, tu peux m’en parler, tu le sais, n'est-ce pas ? » Billie hocha la tête, sans rien dire. Ce n’était pas la première fois que son enseignante lui tenait ce genre de discours, pourtant elle ne s’était jamais confiée. Elle ne le pouvait tout simplement pas. Mademoiselle Haerthon sourit gentiment, se leva et s’approcha de son élève. Elle lui posa une main sur l’épaule. « N’hésite pas à me parler. Je serais toujours là pour t’écouter. Je te le promets. » Sans crier gares, Billie fondit en larmes, son corps secouer de sanglots déchirants. « Je veux juste... Je veux juste... Je veux juste qu’on m’aime ». Elle enfouit son visage entre ses mains et comptait les laisser là jusqu’à sa mort, quand une légère pression vint éloigner ses bras. « Mais moi, je t’aime... » murmura mademoiselle Haerthon. Elle s’accroupit et s’approcha tout doucement de Billie, en la fixant droit dans les yeux. « Je t’aime... » répéta-t-elle. Puis elle l’embrassa. Sur la bouche. Un tendre baiser, que Billie, n’écoutant que ses pulsions, décida de prolonger.


Billie, 18 ans :
L’amour fait souvent souffrir.
« Anna ? Anna ? » chantonna Billie en s’approchant de l’enseignante, qui l’attrapa en souriant. « Oui, ma belle ? » La blondinette lui sourit, heureuse. « Dans quelques semaines, je quitterais enfin le lycée ! » Elle éclata de rire et commença à danser, pour montrer toute sa joie. Anna, le sourire aux lèvres, l’attrapa et l’embrassa fougueusement. « Je compterais les jours », lui murmura-t-elle dans le creux de l’oreille, avant de s’écarter et de lui prendre la main, pour l’entraîner à sa suite jusqu’à son appartement. « En attendant, faisons-nous discrète, ma jolie Billie ». L’intéressée eut un nouveau rire, retira sa main et enroula ses bras autour du coup de son professeur, en se mettant sur la pointe des pieds, pour l’embrasser à nouveau. « Mademoiselle Haerthon ? ». Billie se figea, avant de tourner lentement la tête. Son professeur de physique la regardait avec des yeux ronds comme des soucoupes.

Un jour plus tard. Billie regardait alternativement les adultes présents dans cette petite salle. Tous étaient venus pour Anna. Tous étaient venus pour ruiner sa vie. Mais que pouvait-elle faire, elle ? Il était inutile de nier, il était inutile de mentir. Et ça, Anna s’en était rendu compte. Elle accepta donc sans rien sa sanction, puis alla récupérer ses affaires dans son casier. Elle était renvoyée. Billie l’attendit, devant le portail et s’apprêtait à la prendre dans ses bras, quand son ancienne enseignante la repoussa gentiment. « Ecoute, Billie, je t’aime, tu le sais. Mais j’ai décidé de déménager. Tu comprends, je n’ai plus rien à faire ici. Je n’étais venue que pour ce travail, maintenant, je ne sers à rien. » Billie se mordilla la lèvre supérieure. « Mais... et moi ? » Anna sourit, en entendant cette question prononcée d’une voix si fluette. « Toi aussi tu vas refaire ta vie. Tu n’as pas besoin de moi. » Puis, après un dernier regard, elle s’en alla, laissa l’adolescente en pleurs derrière elle. Cette dernière resta ainsi, debout, un long moment, avant de finalement prendre en traînant les pieds la direction de chez elle. Elle ne voulait pas entendre sa mère la critiquer, sentir l’odeur d’alcool qui ne manquerait pas d’imprégner leur si petit appartement. Pourtant, elle ne s’attendait pas à ce que la réaction de sa génitrice prenne cette ampleur.
« MAIS QUELLE CONNE ! hurlait Krystal. T'en as pas marre de m'atttirer tout le temps des emmerdes ! Avec une femme, en plus, tu me dégoûtes, tu m’écœures ! Comment peux-tu être ma fille ? Tu... Tu... » « Mais Maman, je l’ai... » « Mais ? tu l’aimais ? Qu’elle connerie ! L’amour n’existe pas, tu dois être trop débile pour t’en rendre compte. Tu me donnes envie de gerber, Billie Pandora Dyson. Quand tu auras terminé le lycée, tu n’auras plus intérêt à revenir ici. Je ne veux plus te voir. Dégage de ma vue ! »


Billie 18 ans :
Les joies de la colocation.
Billie extirpa lentement sa clef de son sac à main, la passa dans la serrure, puis ouvrit la porte, la referma derrière elle et s’affala sur son canapé. Enfin, ce qui ressemblait le plus à un canapé. Des vêtements et même un magazine jonchaient l’objet, ne laissant plus guère de place que pour une seule personne. « En parlant d’une seule personne », marmonna la jeune fille. Puis elle se redressa brusquement. Il y a une semaine, elle avait fait une annonce dans le but de se trouver une colocataire et quelqu’un devait passer cet après-midi-là. La demoiselle regarda l’immense désordre qui régnait dans son appartement et commença à désespérer. Elle n’était là que depuis un mois, grâce au père d’un de ses amis – chez qui elle avait logé quelques temps – qui travaillait dans l’immobilier. Billie l’avait eu peu cher, mais elle avait tout de même peur de ne pas réussir à rejoindre les deux bouts. Elle se leva, dégagea le canapé, empila le tout dans la chambre, puis ramassa tout ce qui traînait sur le sol, jeta à la poubelle les déchets, rangeant le reste et elle finit même par un brin d’aspirateur. Bien sûr, le résultat n’était pas très glorieux, mais tout de même mieux que ce qu’elle avait imaginé. Elle eut un petit sourire de fierté, avant de se rappeler sa promesse. « Une nouvelle vie », chuchota-t-elle. Elle ferma les yeux, les rouvrit, puis cadenassa son passé à double tour dans un coin obscur de son cerveau. Tout ignorer, c’était al seule chose qu’elle savait faire. Et s’amuser. Et vivre au jour le jour. Tout ce qu’elle voulait, c’était être heureuse.
DRIIIIIIIIIIIIIIIIING. La sonnette retentit. Billie, un immense sourire aux lèvres, alla ouvrir la porte pour se retrouver face à une adolescente de peu sa cadette. Elle la fit entrer, puis prendre place à la table de la cuisine-salon et lui proposa une boisson. Puis elle débuta les choses sérieuses. « Je m’appelle donc Billie Dyson, contente de te rencontrer ! Si j’ai bonne mémoire, ton prénom à toi est Hazel, non ? Je ne suis pas vraiment la meilleure colocataire qui existe, mais je te promets de ne pas trop être envahissante ! Le loyer est largement raisonnable concernant la teille de l’appartement et la chambre comprend tous les meubles de base. Tu veux visiter un peu ? » Elle n’avait jamais fait ça. C’était la première à répondre à son annonce, elle n’était sont pas très calée pour ce genre de visite. Tout ce qu’elle pouvait faire, c’est arpenter l’appartement en laissant la jeune fille regarder. Et c’est ce qu’elle fit. Une fois arrivée à la chambre vide, elle lui montra les murs avec un petit sourire. « Je ne sais pas si tu aimes le rose saumon, mais je peux volontiers t’aider à repeindre, si tu veux ! Le placard est assez grand, par contre je dois admettre que la chambre n’est pas très grande. Mais je peux t’assurer qu’elle fait la même taille que la mienne et que je m’y sens très bien ! On retourne dans le salon ? » « Bien sûr», sourit Hazel. Billie tentait de la mettre à l’aise, mais si elle se savait peut-être un peu trop énergique. C’était Anna qui lui avait appris ça. En fait, c’était Anna qui lui avait tout appris. Elles retournèrent dans le salon et cette fois, s’assirent sur le canapé. « Un travail ? Etudiante ? » « Etudiante. » « Moi je travaille, en journée généralement, mais il m’arrive de faire des heures sup’. Si tu as un souci avec le loyer, n’hésite pas à m’en parler. » Petite pause. « Hum, si tu décides d’emménager, bien sûr ! J’ai rencontré quelques-uns des voisins, et ils ne sont pas trop dérangeant, si ce n’est quelques fêtes à l’occasion, mais ils préviennent à l’avance, généralement ! Enfin, je ne suis pas là depuis très longtemps, mais ils m’ont l’air bien sympathique, pour le moment. »
Elles continuèrent à parler un moment, puis Hazel dû repartir et promit de l’appeler pour la tenir au courant. Quelques jours plus tard, elle l’appela effectivement et lui fit partager son souhait de vouloir aménager. Billie retint difficilement un cri de joie et se mit à sautiller avec bonheur. Le lendemain, Hazel vint s’installer.


Billie, 23 ans :
Sex drugs & rock'n'roll

Billie avala une gorgée de sa vodka tonic, puis ferma les yeux pour savourer son goût, avant d’avancer en se dandinant jusqu’à l’air de danse. Elle dansa ainsi une heure, sans penser à rien, si ce n’est à la présence de tous ces corps chauds autour d’elle, alternant entre cavalier et cavalière. Puis elle retourna au bar pour se commander une bière. Un de ses amis se dirigea vers elle, pour lui chuchoter à l’oreille. « Tu veux faire un jeu ? » Billie le repoussa en rigolant. « Tant que ça n’incluse pas un quelconque tripotage sur ta personne ! » Il lui répondit d’un clin d’œil, puis l’attira à lui pour recommencer à lui parler. Avec le bruit ambiant, c’était la seule façon de discuter sans avoir besoin de crier. « Cap ou pas cap ? » Il fit une petite pause, tandis que la blondinette souriait. « Je dirais, cap ou pas cap de passer le reste de la soirée sans ton tee-shirt ? » Elle eut un autre éclat de rire et retira le vêtement sans hésiter une seule seconde. « Petit joueur, tu sais très bien que je suis tout sauf pudique ! » Il ne lui répondit que d’un clin d’œil, tandis qu’elle se perchait sur ses genoux. Très tactile, la demoiselle avait constamment besoin de contacts et que ce soit avec un garçon ne la dérangeait pas des masses. Tant que ça se limitait à ça. Elle regarda son ami, puis lui donna un petit coup de tête. « Et toi, cap ou pas cap de retirer son pantalon ? J’espère bien que t’as mis ton caleçon superman ! » Il rit. « Même pas, c’est le Homer Simpson, cette fois. » Ils se levèrent tous les deux, puis il retira lentement son pantalon, en jetant des regards langoureux autour de lui. Billie le fixait d’un œil moqueur en ne manquant pas de la taquiner sur sa musculature. Puis ils repartirent ensemble vers la piste où Billie ignora les regards scrutateurs des hommes, pour se mettre à danser avec une jeune femme, la vingtaine, petite et assez jolie. Elles dansèrent ensemble un long moment, ne limitant pas les contacts et les baisers, jusqu’à ce que le regard de la blondinette s’arrête sur une horloge accrochée au mur. « Oh merde ! » Il était vingt-trois heures et bien que ce soit encore assez tôt, la demoiselle avait une séance photo tôt le lendemain et avait promis à Hazel de rentrer à l’appartement. Elle but donc un dernier verre, en le savourant bien, puis elle retourna dans l’appartement en sautillant. Hazel s’y trouvait et regardait la télévision, bien installée sur le canapé. Billie lui entoura les épaules de ses deux bras, dans une sorte d’étreinte plutôt étrange. « Je suis rentréééééée ! » Rendue euphorique par la présence de l’alcool dans ses veines, elle fit un gros bisou sur la joue de sa colocataire, puis prit la direction de sa chambre, en commençant à se déshabiller au passage. Arrivée à la porte, elle se détourna, tous sourires. « Bonne nuit Hazel ! » cette dernière détourna la tête de la télé, lui sourit et lui répondit d’un autre « Bonne nuit, l'exhibitionniste ! ». Elle entra dans sa chambre, ferma la porte, plongea sous la couette et s’endormit immédiatement.
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Ton prénom ou surnomAlice Ton âge 16 ans Que penses-tu du forum ?Il a l'air vraiment bien ! J'aime le contexte. (: T'es arrivé là comment ?PRD ! Un petit mot sur le design ?Je le trouve vraiment très beau ! *w* *fan de la bann* Un dernier mot Invité?CHEESE !
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Dernière édition par Billie Dyson le Sam 1 Sep - 2:12, édité 6 fois
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Maddy Callaghan

I'm the bitch of Miami city

Maddy Callaghan

Nationalité : Américaine
Métier : Danseuse au strip-club
Célébrité : Rosie Huntington-Whiteley
Messages : 438
Billie Pandora Dyson ☼ S'il faut mourir, autant vivre à en crever. _
MessageSujet: Re: Billie Pandora Dyson ☼ S'il faut mourir, autant vivre à en crever.   Billie Pandora Dyson ☼ S'il faut mourir, autant vivre à en crever. Icon_minitimeVen 31 Aoû - 3:39

YEAAAAAAAAAAH t'es venu *o* Donc jte souhaite la bienvenue et tout le tralal :38: Je t'aime déjà love1 Ma futur coloc héhéh
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Billie Pandora Dyson ☼ S'il faut mourir, autant vivre à en crever. _
MessageSujet: Re: Billie Pandora Dyson ☼ S'il faut mourir, autant vivre à en crever.   Billie Pandora Dyson ☼ S'il faut mourir, autant vivre à en crever. Icon_minitimeVen 31 Aoû - 4:16

Bien sûr que je suis venue, héhé. :ami:
En tout cas, merci beaucoup. mooh

Je vais commencer à poster l'histoire, par contre, il manquera deux parties, fufu. ;3
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Invité

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Billie Pandora Dyson ☼ S'il faut mourir, autant vivre à en crever. _
MessageSujet: Re: Billie Pandora Dyson ☼ S'il faut mourir, autant vivre à en crever.   Billie Pandora Dyson ☼ S'il faut mourir, autant vivre à en crever. Icon_minitimeVen 31 Aoû - 7:05

Heeey !! Billie Pandora Dyson ☼ S'il faut mourir, autant vivre à en crever. 4033585029

Bienvenue Parmi Nous !!! :D Si tu as la moindre question n'hésite pas !! ;)

Bonne Chance pour ta fiche !! Billie Pandora Dyson ☼ S'il faut mourir, autant vivre à en crever. 3912376022
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Billie Pandora Dyson ☼ S'il faut mourir, autant vivre à en crever. _
MessageSujet: Re: Billie Pandora Dyson ☼ S'il faut mourir, autant vivre à en crever.   Billie Pandora Dyson ☼ S'il faut mourir, autant vivre à en crever. Icon_minitimeSam 1 Sep - 2:01

Merci beaucoup ! *w* Je n'hésiterais pas, alors. :38:

Et sinon, j'ai fini ma fiche, youhouu. \o/
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Maddy Callaghan

I'm the bitch of Miami city

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MessageSujet: Re: Billie Pandora Dyson ☼ S'il faut mourir, autant vivre à en crever.   Billie Pandora Dyson ☼ S'il faut mourir, autant vivre à en crever. Icon_minitimeSam 1 Sep - 2:11

J'AIMMMMMMMMMME ! ton histoire love4 Je te valide avec empressement & j'ai même quelques idées pour Hazel & Billie jte mpotterai :ah:
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MessageSujet: Re: Billie Pandora Dyson ☼ S'il faut mourir, autant vivre à en crever.   Billie Pandora Dyson ☼ S'il faut mourir, autant vivre à en crever. Icon_minitime

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