Physiquement , je suis un garçon de petite taille, mais d'une carrure très masculine et sportif. J'ai les yeux gris-vert , qui virent au marrons selon certain éclairages ou humeurs. Ils sont de formes en amandes encadré par de long cils bruns, ce qui me donne un regard plutôt doux et enjôleur. J'ai une bouche plutôt rosé, légèrement plus pleine à l'inférieur. Un nez long et bossu d'une fracture lors d'un match de foot, plusieurs cicatrices sur le visage, le résultat d'une malchance légendaire, alors que qu'au court de mon adolescence j'ai enchaîner les petits incidents du quotidien. Coté vestimentaire, j'aime tout ce que fait la marque Addidas, bien qu'aussi j'adere les jolie veste qui te donne l'allure énigmatique. Je ne suis pas une personne qui se dévoile facilement, d'ailleurs derrière cette facette de clown, ce cache un garçon plutôt sauvage et réserver l'autrui. J'ai tellement morflé dans ma vie que je me suis renfermé sur moi-même devenant plus qu'un corps de fragilité. De tempérament plutôt impulsif, je m'emporte au quart de tour :si on me cherche on me trouve comme on dit, ce qui enchaîne souvent sur des bagarres surtout lorsque j'ai bu le verre de trop. Pourtant, je reste un garçon très aimant, voir adorable alors que derrière cet armure d'acier, ce cache un cœur énorme et généreux. Quand j'aime, je ne fais pas semblant et je développe un instinct très protecteur qui peu devenir étouffant pour l'autre. En amour je suis possessif et jaloux , mais aussi assez fougueux, alors que pour moi le contact dit charnel est primordiale et sans tabou . Mais plus grande addiction son la clope et l'alcool, ce qui commence vraiment a poser problème quand je tombe dans l’excès.

J'ai vu le jour le huit août mille neuf cent quatre vingt huit à Santo André, une ville de la Banlieue de Sao polo plutôt réputé pour son club de foot mais également ses délits , sa délinquance et ses trafics de produit illicites. Comme beaucoup de familles, on ne roule pas sur l'or , j'ai donc dans un immeuble social , vivant le jour le jour sans penser une seul seconde que ce calvaire puisse un jour toucher à sa fin. . Mon père , qui est brésilien, est du genre chômeur qui passe son temps a boire pour oublier son échec avec tout les soir une prière pour notre seigneur .Ma mère,turque, quand a elle est femme au foyer, plutôt très maternelle et très a cheval sur les valeurs gitanes petit cadeaux de notre grand père. J'ai une sœur Rosa -Angela, de quatre ans mon ainé qui est aujourd'hui marié avec un américain et a eux trois enfants d'une année d'écart seulement. Comme dans notre pays l'avortement est un délit et l'union sacré, elle n'a pas eut le choix que de faire honneur au Scherbatsky . Bref a cette époque j'étais destiné a une carrière sportive, footballeur pour être précis jusqu'au jour ou j'ai eux ce terrible accident au genoux gauche qui m'a collé durant des semaines au repos. C'est alors que j'ai dut mettre réellement un terme a mon rêve pour littéralement me plonger dans cet horrible quotidien qui était ma vie. Âpres arrêt définitives de mes études à mes 17 ans, j'ai donc enchainer des petits boulots aux black, aidant du mieux que je pouvais ma famille tout en économisant pour un jour partir de Santo André . Chose que je réalisai seulement a mes 23 ans , quand l'opportunité se présentai enfin à moi, sans même avoir cherché à le provoqué. j'étais tout simplement tombé amoureux d'elle et comme un fou j'ai préférer la suivre jusqu'au état unis a seulement deux semaines de relation. Malheureusement, arrivé là-bas, ma jolie touriste était devenu une femme d'affaire plutôt prisé qui n'avait plus vraiment de temps pour moi et surtout "nous". Malgré tout, elle tomba enceinte d'une petite fille qui naquit le 10 aout soit deux jour après mon anniversaire, un merveilleux cadeau qu'elle m'aurait offert, bien que notre relation se termina une semaine après. Aujourd'hui, j'ai donc décidé de m'installer à Miami pour pouvoir être prés de ma fille et tenter d'obtenir sa garde, mais pour ça il me faudrait une meilleur situation et à preuve du contraire serveur dans un pub est une misère coté salaire. Mais comme on dit advienne que pourra, je sais qu'un jour la roue tournera de nouveau et que peut-être, j'aurais ma vie de famille et rencontré le vrai amour.